samedi 4 août 2012

Bouillons



Depuis 2 jours, c'est la plongée dans des univers plein de mystères et de magie !

A Budapest, on a visité le célèbre cimetière Kerepesi, fondé en 1847, plus grand que le père Lachaize et au tombeaux magnifiques :
"les tombeaux rivalisent de hardiesse pour former autant de compositions savantes et parfois énormes. Beaucoup de statues sont grandeur nature, et présentent les défunts dans leur environnement. La symbolique y est très forte, tant pour les monuments du XIXe siècle que pour ceux de l’ère communiste"






Hier soir, très tard (après 7h de bus :) on a atterrit à Prague, dans une auberge INCROYABLE ! Des auberges écolos j'en ai fait plein, mais là, c'est complètement dingue, il y a des arbres partout, des oiseaux empaillés, des plantes dessinées sur les murs, bref, c'est pas fait à moitié ! Une forme d'Art Nouveau contemporain 3D en quelques sortes !



 Et puis on a passé la journée à marcher sur les pavés pragois, une architecture bien sûr décapante, entre l'art nouveau (le vrai :), le baroque, le cubisme, le gothique, les églises à tous les coins de rue...




Mais aussi beaucoup de touristes, et donc certainement moins de magie qu'en plein automne, sous la neige, de nuit (=le souvenir que j'en ai de la dernière fois :).
Pas de syndrome de Stendhal cette fois-ci !

NB "Le syndrome de Stendhal est une maladie psychosomatique qui provoque des accélérations du rythme cardiaque, des vertiges, des suffocations voire des hallucinations chez certains individus exposés à une surcharge d'oeuvres d'art. (...)
Ce syndrome est appelé ainsi en référence à l'expérience vécue par l’écrivain français Stendhal lors de son voyage en Italie, à l’étape de Florence, en 1817. Il écrit alors :
« J’étais arrivé à ce point d’émotion où se rencontrent les sensations célestes données par les Beaux Arts et les sentiments passionnés. En sortant de Santa Croce, j’avais un battement de cœur, la vie était épuisée chez moi, je marchais avec la crainte de tomber. »
Rome, Naples et Florence, éditions Delaunay, Paris - 1826, tome II, p. 102"

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